Vacances

Vous le savez, les vacances cela occupe… Pris par un travail de rédaction, par des travaux d’électricité et par un séjour en famille… Je laisse un peu le blogue au repos…

A LA SEMAINE PROCHAINE…

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2 réponses à Vacances

  1. Monique dit :

    Eh ben, eh ben, eh ben ! ! Comment peut-il être question d’électricité (!), P. Benoît, lorsque vos ouailles s’apprêtent à se faire dire, encore une fois, que le fait d’avoir laissé assassiner son fils, humilier, flageller, clouer sur une croix, et par des hommes ignorants et hargneux, vaniteux et politiciens, est ce qu’il fallait à Dieu pour « sauver les hommes », ou les « racheter » ? D’abord, je n’ai jamais compris – plusieurs ont tellement l’air de comprendre… – cette histoire-là. Je veux bien méditer le sermon sur la montagne, mais là, ces jours-ici, encore une fois, on se fera dire que cette mort était merveilleuse (quelle mort est merveilleuse ? quelle mort, grands dieux, est merveilleuse ?) et que du coup, nous devons nous sentir aimés… J’ai envie de dire « c’est fort de café » ! mais je ne le dirai pas, ce n’est pas très convenant !

    Ensuite, « sauver les hommes » : de quoi ? Ou les « racheter ». : qu’est-ce que ça veut dire ? Je ne mets pas en doute qu’il y ait là quelque chose d’important, mais quoi ? ? Je ne mets pas en doute les phénomènes étranges qui ont eu lieu à l’instant de la mort de Jésus, que cela a ébranlé la foule des juifs, mais à part le fait que certains se soient mis à croire, ou dire, que « celui-là [était] le fils de Dieu », comment cela nous amène-t-il, nous, à dire que cette mort, cette mort déraisonnable, était ce qu’il fallait, etc., etc… ?

    Personnellement, je trouve cet épisode de l’histoire absolument scandaleux et ne vois pas comment je devrais m’en réjouir ! M’en désoler, je veux bien, mais enfin… ! En fait, cette histoire est chaque fois racontée avec les mêmes mots hermétiques (ou poétiques ?), mots que je devine lourds de sens, sans doute et assurément même, mais qui ne me parlent pas !

    La balle est dans votre camp, P. Benoît, c’est vous qui êtes le chargé d’âmes ! Vous comprenez sans doute les dessous de cette affaire-là, vous qui fréquentez avec cœur les textes traditionnels ; allez-vous traduire pour moi ? Je dis « pour moi » parce que j’ai tellement le sentiment que je suis la seule (croyante) à ne pas comprendre…

    Je vous autorise des vacances ! ! ! Je me réjouis de vos rencontres familiales ; profitez-en bien, l’année 2010-2011 a été pour vous tellement chargée ! Et puis, resterez-vous en France, près des vôtres, encore longtemps… ?

    À la semaine prochaine.

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