Alors que la une des journaux est remplie, surtout, de la folie des hommes, qu’il est bon de contempler la nature, d’apprendre de sa patience et de sa générosité. Avec la fin de la saison des pluies c’est le temps des récoltes : haricots, maïs, soja, tournesol, fruits de la passion, papayes, bananes, ananas sont quelques-uns des bienfaits de notre coin de noviciat. Plutôt que de vous faire de grands discours, j’aimerais juste, aujourd’hui, vous partager quelques photos de notre belle nature, qu’elles puissent inspirer la contemplation de votre propre coin de Terre !
- Un noviciat au naturel
- Un noviciat au naturel
- Maïs avant récolte
- Bananiers et tournesols
- Jardin (Bomas et Epinards)
- Soja, maïs, papayer
- Début des récoltes
- De belles papayes
- Soja
- Un noviciat au naturel
- Fleurs ornementales
- Fleurs ornementales
- Fleurs ornementales
- Fleurs ornementales
- Un noviciat au naturel
- Je ne connais pas le nom…
- Régime de bananes
- Fruits de la passion
- Dans le bassin des tilapias
- Dans le bassin des tilapias
Merci, c’est magnifique ! comme j’ai fait la fondation de Sokodé, cela me rappelle tellement de beautés ! cela me met en phase avec vous, surtout aujourd’hui qui est la journée mondiale missionnaire ! courage aux novices et surtout laissons-nous suivre le thème du Pape : « va, je t’envoie ». Continuez à bien produire………… et bon appétit à tous ceux avec qui vous partagerez ces bonnes choses. Dans la joie et bien fraternellement et en Christ. Sr M. Monique Assomption de Montpellier
Toutes ces superbes photos me font comprendre l’expression « donner du fruit ». Elles montrent combien le travail soutenu par le désir du maître des novices s’épanouit dans la beauté jusqu’au plan de la végétation : toutes ces fleurs qui ont surgi de l’inquiétant chantier dont a suivi en photos les progrès parfois difficiles, ce magnifique potager, ordonné et fécond, ces arbres et arbustes fruitiers qui respirent l’abondance, jusqu’au plan d’eau domestiqué, tout indique qu’il se passe quelque chose de pas ordinaire là ! Mille bravos, P. Benoît !